La Liberté : base de la démocratie.

La déontologie ne doit pas être une sanction mais au contraire l’obligation de tout  journaliste de respecter la véracité de l’information qu’il transmet, afin que cette communication permette de distinguer les critères de droit par rapport à ceux de la morale. Le Conseil de l’Ordre des Journalistes (COJ) conduit à une éthique de la presse et à une rigueur du traitement de l’information, des droits et devoirs des journalistes, ce à  quoi aspirent les citoyens. Citons les choses par leurs noms les propos non vérifiés peuvent être aussi révélateurs que des paroles mensongères.,

Conseil de l'Ordre des Journalistes

Quant aux libertés et en particulier à la liberté d’expression, le COJ se doit de les protéger plus que jamais. Ainsi, il en sera en permanence le défenseur et le protecteur.  Il n’y a pas de démocratie sans liberté, celle-ci étant le remède le plus efficace à tous les problèmes d’information de la société, c’est pourquoi le citoyen reste fermement attaché à ses libertés publiques jusqu’à l’extrême limite, en particulier à la liberté médiatique, l’information étant avant et par-dessus tout une tribune à travers laquelle le COJ peut s’exercer.

 Les journalistes assument ils la responsabilité totale du contenu de l’information ? Le COJ est là pour veiller à la déontologie et à  l’éthique de l’information, pour éliminer le dérives qui affectent l’activité des journalistique.

Le constat suivant devient évident : par déontologie, le COJ impose une sanction à tout irrespect de la norme.

La révolution en France

Un e association du COJ, même si elle a été créée tardivement, vient à point pour prendre  la défense du journaliste et du public. La seconde avancée des droits socioprofessionnels des journalistes a été laissée pendant longtemps à la merci d’un patronat plus soucieux des profits que des conditions de travail. Cette association est composée de journalistes, médias, éditeurs,  public et patronat.

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard