Le COJ, pour le respect des Journalistes et du public

logo

Aujourd’hui, le Conseil de l’Ordre des Journalistes (COJ) constitue la base de la déontologie et de l’éthique des métiers de l’information. A partir des principes fondateurs que sont le respect du public et la conscience professionnelle, le COJ s’engage à respecter les principes essentiels de la profession de journaliste.

Cet engagement est capital car le journaliste devra durant toute sa vie professionnelle respecter, sans réserve, ces règles morales et juridiques.  La charte unique nationale de la profession de journaliste qui regroupe l’ensemble des règles déontologiques et d’éthique rappelle que la méconnaissance d’un seul de ces principes (règles et devoirs) constitue une faute, un manquement à la règle déontologique et la charte unique nationale générera des sanctions disciplinaires. Dans sa forme actuelle, le C.O.J est chargé de veiller à ce que règles s’adaptent aux évolutions actuelles d’un monde perpétuellement en mouvement.

 Le COJ a toujours mené tambour battant des actions de sensibilisation pour respecter déontologie et éthique et ce, en collaboration avec le Conseil de Presse de France, le Comité d’Ethique des Journalistes de France et évidement l’ensemble  des journalistes et du public…

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard

CHARTE UNIQUE NATIONALE A PARTIR D’UNE LOI DEONTOLOGIE ETHIQUE

logo coj

Après la création d’un conseil de l’ordre des journalises (COJ) s’impose la création d’une :

CHARTE UNIQUE NATIONALE A PARTIR D’UNE LOI DEONTOLOGIE ETHIQUE

Pour mettre en avant la défense des droits fondamentaux, la déontologie et la compétence, des colloques, seul ou en partenariat avec d’autres organismes ou institutions, doivent être organisés régulièrement.

Il faut bâtir la fondation de ce qui doit être un COJ original par sa composition, innovant et totalement représentatif de la profession. Pour cela, une charte unique nationale comprenant,  loi de l’éthique et de la déontologie s’impose. Des textes n’ayant  aucune valeur juridique mais établissant quelques principes généraux destinés à encadrer l’activité journalistique. Ainsi cette charte unique  imposera à tous les journalistes :

- de prendre la responsabilité de tous leurs écrits,

- le respect de la vérité et de la vie privée,

- que la déontologie des journalistes est une déontologie professionnelle bien qu’il n’existe pas de code déontologique mais divers chartes,

En résumé, les priorités sont la reconnaissance d’une charte unique, d’une  déontologie s’appuyant sur la recherche de la vérité et la vérification de l’information.

Comment sortir de la crise actuelle ?

 Créer un COJ est la seule solution pour les professionnels de l’information dans un monde où les marges de manœuvre deviennent de plus étroites. Un COJ développera une nouvelle forme d’information innovante même si cette nouvelle voie apparait déjà comme étroite. En ce qui concerne la France, le retard est déjà marqué mais la question se limite-t-elle simplement à l’insuffisance des chartes uniques ?

L’année 2010 et le début 2011 comporte même comme un écart historique à l’égard de la déontologie et d’éthique, le problème ne serait donc pas simplement un défaut mais également un manque de demande de la création du COJ. Donc l’innovation n’est pas seulement au cœur des préoccupations des professionnelles, elle est plus que jamais centrale dans la stratégie du COJ et elle doit une orientation particulièrement sensible, mais c’est très paradoxalement dans ce conteste que les professionnelles, la fusion de l’intégration du COJ dans la profession journaliste.

Comment sanctionner une faute avérée ?

Comment par ailleurs définir les responsabilités ?

Comment se protéger des pressions ?

Comment rétablir le dialogue avec le public ?

Le COJ propose un projet d’une charte nationale « Loi – Déontologie – Ethique « C’est la qualité de l’information instituant des droits et devoirs de la profession.

Le COJ, une instance où seraient représentés les journalistes, les patrons de presse, le public, un conseil qui pourrait être saisi par qui veut.

Le droit du public à une information de qualité. Le journalisme consiste à rechercher, vérifier, commenter et publier une information de qualité, il faut respecter les règles d’éthique et de la déontologie.

Respecter la dignité des personnes  et la présomption d’innocence.

Tenir l’esprit critique, l’exactitude, l’équité, l’impartialité.

Ne confond pas son rôle avec celui du juge ou du policier. 

La déformation des faits, le détournement d’images, la manipulation, la non vérification des faits.

Exercer la plus grande vigilance avant de diffuser des informations d’où qu’elles viennent.

N’accepter en matière de déontologie et d’honneur professionnel que la juridiction de ses pairs. Répondre devant la justice des délits prévus par la loi

Ne pas user de la liberté de la presse dans une intention intéressée.

COJ veille au respect de l’éthique et de la déontologie

Le droit à l’information, à la libre expression être à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain, il est une composante essentielle de la démocratie.

Le journaliste doit respecter la vie privée des personnes.

Le journaliste doit considérer que toute personne soupçonnée, arrêtée est présumée innocente tant qu’elle n’a pas été condamnée à la suite d’un procès juste et équitable

N’accepte que des missions compatibles avec la dignité professionnelles

Le journaliste d’interdit le plagiat, la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondements.

Ils s’engagent à déclarer tout conflit d’intérêt.

Ne pas oser de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents

Ne jamais confondre le métier de journalistes avec celui de publicitaire.

Reconnaissant le droit en vigueur dans chaque pays.

Les journalistes revendiquent le libre accès à toutes les sources d’information sur tous les faits qui conditionnent la vie publique.

Confronté à un problème d’ordre déontologique tout journaliste est en droit de saisir le COJ.

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard 

 

 

 

 

 

La responsabilité des journalistes

logo coj

La question centrale est plutôt celle de la responsabilité morale des journalistes de la déontologie de la profession. Tant il est évident que des fautes on été commises dont n'était pas exclue la malveillance au détriment de l’objectivité professionnelle. Pour éviter pareille dérive, il convient de se référer à une institution telle que le Conseil de l’Ordre des Journalistes (COJ). Ainsi les journalistes pourront agir de façon responsable au niveau de l'éthique et de la déontologie de leur profession.

Pourquoi se référer au COJ ?

Le COJ permettra d’éviter que n'importe quel journaliste puisse se cacher derrière des sources invérifiables pour propager n'importe quelle rumeur! Il faudrait que les calomnies qui n'ont rien à voir avec le journalisme soient condamnées par la justice. C'est aux journalistes de s'assurer des sources de leur crédibilité, autrement toute dérive volontaire ou involontaire devient inattaquable. Comment se défendre? Il faut que le COJ puisse stopper toutes ces abus. Combien de diffamations ou d'erreurs ont-elles été commises ? Ce qui serait pas le cas si les sources d’information avaient été accessibles au CDJ, souverain impartial pour contrôler, à partir de la déontologie professionnelle toutes dérives et erreurs et sanctionné le journaliste responsable. Il est fini le temps ou les journalistes doivent plus rechercher l’impact de l’information sur leurs lecteurs. Désormais, la priorité première : c’est la vérité. Il faudrait que la charte des journalistes soit revue et actualisé en fonction des nouveaux moyens de communication donc un COJ doit être crée.

Être journaliste, c'est un très beau métier mais n’oublions pas qu’il doit être exercé dans le cadre d’une vraie déontologie et d'une vraie éthique professionnelle.

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard

 

 

 

Le Conseil de l’Ordre des Journalistes

coj

Le Conseil de l’Ordre des Journalistes (COJ) se félicite que l'éthique, la déontologie dans les médias et le droit du public à une information de qualité ne soient plus des sujets tabous

Depuis sa création, le COJ milite pour la mise en place d'une instance de médiations entre les médias , les éditeurs, les journalistes et la presse. Afin de se remettre en question et d'améliorer leurs pratiques, les médias ont besoin d écouter les critiques de leur public Ce n'est pas une question morale, c'est une question de crédibilités, de déontologie et d'efficacité professionnelle avec une information honnête et de qualité.  

Les propositions du COJ :

1- Le droit de chaque citoyen à une information de qualité.

2- Donner un statut juridique à la rédaction.

3- Réaffirmer le statut du journaliste professionnel.

4- Inscrire dans la constitution elle-même le droit du public à une information honnête et de qualité. Le service du public est le cœur du métier de journaliste.

5- Inscrire dans la convention collective nationale un texte déontologique  unique et fédérateur.

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard