La tradition des vœux du Conseil de l'ordre des Journalistes France

C'est vers le milieu du XIXe siècle que la tradition des voeux est apparue en Angleterre, notamment grâce au développement du courrier postal et de la lithographie, avant de se développer peu à peu dans le reste du monde, surtout en Amérique du Nord ou au Japon.

Présenter ses vœux pour les fêtes est une coutume qui perdure encore aujourd'hui dans la plupart des cultures, mais ce n'est pas facile de se renouveler d'année en année. On a même l'impression d'entendre toujours la même chose : « Bonne année , Bonne santé, parce que c'est important la santé !».

Même si l'envoi d'une carte de voeux se fait toujours, nous utilisons tous désormais les SMS, les emails et les messages sur les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Instagram pour souhaiter de bonnes fêtes de fin d'année à ses proches.

On pensait que le coronavirus nous laisserait tranquille et bien ce n'est pas le cas apparemment.

L'année se termine et la Covid 19 est toujours là !

Que cette nouvelle année soit meilleure que l'année passée et qu'elle nous débarrasse de ce maudit coronavirus.

Je souhaite à tous vos adhérents une très bonne et heureuse année 2022.

Quelle vous apporte la joie à vous, vos familles et la réussite professionnelle.

Vous savez tous l’estime, la considération et le respect que j’ai pour la profession de journaliste.

En effet, nous exerçons un métier passionnant et ce, dans des conditions souvent très difficiles.

Le journalisme est un métier qui exige beaucoup de courage et d’investissement personnel.

Je voudrais profiter de ce moment pour saluer une fois de plus notre persévérance et notre volonté inébranlable d’informer le public en respectant totalement, notre charte nationale unique.

Je souhaite que vous puissiez éprouver en 2022 du Bien-être et du plaisir dans vos actions quotidiennes qui contribueront à la réussite du projet collectif qu’ensemble nous mettrons en œuvre  pour les Medias.

Bonne année à vous       

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard 

 

 

Réagir en cas de diffamation publique d’un élu local

 

 

Bien souvent, les élus locaux sont confrontés à des propos véhéments tenus à leur encontre, parfois diffamatoires, qui ne peuvent en tout état de cause restés impunis.

Comment réagir face à une telle situation ?

1°) La qualification de l’infraction de diffamation :

L’article 29 de la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse définit la diffamation comme « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé ».
Ainsi, la diffamation se distingue de l’injure en ce qu’elle renferme l’imputation d’un fait précis à une personne déterminée.
Par exemple, l’imputation à un homme politique d’avoir personnellement pratiqué la torture à l’époque où il était militaire a été reconnue comme constitutive d’un acte de diffamation et sanctionnée (Paris, 15 janvier 1986 : D. 1986. Flash. N°7).
Par ailleurs, l’infraction de diffamation publique envers un élu local ne peut être retenue qu’à la condition que les propos diffamatoires qui sont tenus à son encontre se rattachent à sa fonction (critiques d’actes commis au cours de l’exercice de sa fonction ou abus de fonction par exemple), et qu’il ne s’agisse en conséquence pas d’attaques personnelles, qui, si elles restent punissables, ne revêtent ni la même qualification pénale, ni la même sanction.
Enfin, les propos doivent revêtir un caractère public, c’est-à-dire qu’ils peuvent se manifester au travers de discours, de paroles proférées dans des lieux publics, d’écrits, de dessins, de peintures, ou tout autre support de communication.
Lorsque toutes ces conditions sont remplies, la personne qui s’est rendue coupable de ces agissements à l’encontre d’un élu local encourt une amende conséquente, pouvant aller jusqu’à 45.000 €.
Une limite toutefois : une certaine indulgence est parfois accordée par le Juge aux personnes auteurs de tels faits. Un droit à la critique est en effet reconnu à l’ensemble des citoyens, dès lors que les propos qu’ils tiennent ne dépassent pas le cadre de la « polémique admissible », de sorte que ceux-ci ne tombent alors pas sous le coup de la loi pénale (Poitiers, 1er sept 2005 JCP 2006 IV. 2300).

2°) Les moyens d’action :

Si ces faits de diffamation publique d’un élu local sont constitués, leur auteur doit en être sanctionné.
Pour cela, il existe plusieurs possibilités :
– Adresser un courrier de plainte, par lettre recommandée avec accusé de réception ou par dépôt au greffe, au Parquet du Tribunal de Grande Instance du lieu de commission du délit, ou se rendre au commissariat ou à la gendarmerie afin de déposer une telle plainte.
Une enquête sera par la suite réalisée, et le parquet décidera alors de diligenter ou non des poursuites à l’encontre du ou des auteurs.
– Agir par voie de citation directe des prévenus devant le Tribunal correctionnel compétent.
Dans cette seconde hypothèse, une consignation devra toutefois préalablement être versée par la personne qui en prend l’initiative, qui ne bénéficiera au demeurant pas véritablement du soutien du parquet dans le cadre de cette procédure pour mener des investigations complémentaires.
Attention toutefois au délai de prescription d’une telle action, qui est de trois mois à compter des faits, nécessitant ainsi une réaction rapide de la part des victimes.

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard 

 

 

Les journalistes ne sont pas chargés de réhabiliter la parole politique !

La politique passionne-t-elle encore les Français ?

Christi Couderc : Je suis absolument persuadée qu'elle intéresse les Français. Ce sont les politiques qui n'intéressent plus les Français. Les Français sont un peuple politique. On partage cela avec les Italiens. Ils sont exigeants quant à la qualité des débats et la déception est à la hauteur des attentes. Même si les sujets sont difficiles – comme la Constitution européenne en 2005 –, les gens suivent.

Gabriel Vialy : La présidentielle reste l'acmé de la politique, et c'est évidemment cet événement qui passionne les Français, on le voit sur la participation. C'est difficile de s'intéresser aux régionales et de comprendre les prérogatives et les enjeux, même si cette campagne n'est pas si inintéressante que cela. La crise sanitaire n'aide pas.

Mais, à la différence des autres quinquennats, tous les sondeurs alertent sur le décrochage d'une grande partie des Français et de leurs représentants…

C. C. : Cela avait été l'un des thèmes de la campagne d'Emmanuel Macron en 2017. C'est son plus grand échec. Je suis très frappée par le rapport qu'ont les Français avec leurs politiques : ils portent aujourd'hui un regard sur eux avec une présomption de culpabilité et on impose aujourd'hui des contraintes aux politiques qui vont faire que les vocations vont se raréfier. Aujourd'hui, s'engager en politique, c'est faire preuve d'une abnégation exceptionnelle. Il y a une demande de représentativité, de référendums…, mais nous avons le système démocratique le moins mauvais.

G. V. : La défiance, elle existe. Rappelez-vous, Emmanuel Macron sur le porte-avions Charles-de-Gaulle avoue « avoir échoué à réconcilier les Français avec leurs dirigeants ». C'était quoi sa volonté ? Réunir les meilleurs de droite et de gauche et les faire travailler ensemble pour « réparer la France », comme disait Édouard Philippe. Cela n'a pas marché. La défiance est d'autant plus grande qu'il n'y a pas d'idées, on ne répond pas à leurs problèmes et le système ne fonctionne pas bien. Souvenez-vous des débats pendant la crise sanitaire : à part râler, qu'ont proposé les oppositions ? On avait l'impression qu'elles étaient contentes de ne pas être aux affaires. C'est un comble ! Les débats au Parlement n'ont pas fonctionné : tout a été décidé par cinq personnes dans des conseils de défense d'où rien ne sortait. Le système étouffe et le grand échec de Macron est la question institutionnelle.

Les ficelles ont toujours été grosses, mais la loupe est de plus en plus puissante.

En tant que journalistes, vous côtoyez le personnel politique tous les jours. La communication (avec les éléments de langage) n'a-t-elle pas tué la politique ?

C. C. : Je ne comprends pas ce procès qui est fait à la communication. C'est naturel que l'on veuille expliquer son action ou un projet – à condition que cela ne se substitue pas aux idées, évidemment. C'est de la paresse intellectuelle de dire que ce n'est plus que de la communication. Par contre, les débats ne revitalisent pas. Nous l'avons constaté depuis des mois. Le débat est pauvre et on le subit. Les politiques font souvent du commentaire d'actualité.

G. V. : Les politiques parlent trop. Communiquer, c'est expliquer. Sauf que, depuis quelque temps, ils parlent tout le temps, mais ils n'ont rien à dire. C'est cela le problème. Tous les jours, ils commencent leur journée par une matinale, mais ils n'ont pas tous les jours quelque chose à dire d'intéressant ! Parfois, ils terminent leur journée par une émission de télévision. Mais qu'ont-ils fait dans la journée ? Les créneaux d'intervention se sont multipliés. Emmanuel Macron a théorisé la « parole rare », mais on a un flot ! Avant, les éléments de langage étaient fournis pour les ministres, mais désormais le moindre député a les mêmes. Mais ça ne trompe personne, car les gens sont malins et comprennent.

C. C. : Ils comprennent aussi vite que nous. Ils ne sont pas dupes. Sur les régionales en Paca, ils ont tout de suite vu ce qu'il se passe. C'est assez rassurant. Les ficelles ont toujours été grosses, mais la loupe est de plus en plus puissante.

G. V. : Les ficelles sont aussi grosses, mais maintenant elles se voient !

Les petites polémiques, comme les petites phrases, ça tue. Il ne faut pas se laisser emporter par la facilité.

Les journalistes politiques ont-ils un rôle pour élever le débat en sélectionnant les invités et les polémiques à traiter ?

G. V. : Je ne suis pas chargée de réhabiliter la parole politique ! On est là pour les écouter et réagir comme un Français qui écoute. Beaucoup de polémiques commencent sur les réseaux sociaux. Notre responsabilité est de faire le tri entre les fausses polémiques et les vrais sujets qui méritent débat. Les petites polémiques, comme les petites phrases, ça tue. Il ne faut pas se laisser emporter par la facilité : « Puisque tout le monde en parle, c'est que ça doit être un sujet. » Pas forcément. Il ne faut pas se laisser emporter par le torrent.

C. C. : Il y a donc une petite responsabilité (sourires). Nous devons faire des arbitrages et je peux avoir tort : par exemple, je n'ai pas posé de questions au politique que j'avais en face de moi sur la polémique des joueurs de l'équipe de France et le genou à terre. Le courant est fort, mais on ne peut se réduire à ce qui fait le buzz sur les réseaux sociaux. Mais les politiques, eux, rebondissent sur les polémiques qui viennent de ces réseaux sociaux, et malheureusement, cela devient une actu…

C. C. : Vous voyez bien les intentions de vote pour Marine Le Pen ! C'est normal qu'il y ait un réceptacle qui attire cet électorat. On est dans la normalité. On peut être choqué par la teneur de certains propos, mais que CNews ait du succès auprès d'une partie de l'opinion française, ce n'est pas surprenant. Je suis presque étonnée qu'on soit étonné. Ce qui aurait été une incongruité, c'est que CNews ne fonctionne pas.

G. V. : Avant CNews, une partie des gens ne se sentaient pas représentés par les chaînes de télévision. Là, il y a une chaîne qui dit ce qu'ils veulent entendre avec les outrances et les dérapages. On s'adresse à un public. C'est un choix. Si la gauche avait fonctionné un jour, elle aurait pu avoir sa chaîne – cela aurait pu être le Média, mais ce sont des amateurs.

C. C. : Le succès de CNews est fascinant, car tout a été bien pensé.

Avec en symbole Éric Zemmour que l'on annonce comme potentiel candidat à l'élection présidentielle et dont Le Point a testé l'hypothèse – 5,5 % des intentions de vote…

C. C. : Vous savez ce n'est pas nouveau. Des journalistes ont franchi le Rubicon comme Noël Mamère. Éric Zemmour incarne ce courant d'opinion qui se radicalise, à droite. Il va très loin avec des condamnations. C'est plus une histoire personnelle qu'un symbole. Qu'il soit tenté par la politique, c'est assez banal.

G. V. : Il a du succès. C'est un polémiste qui vend des livres, beaucoup de livres. Il vient sur une chaîne, on lui donne une émission, elle marche très fort et certains se disent autour de lui : « La candidate du Rassemblement national n'est pas à la hauteur, essayons de trouver quelqu'un qui porte des idées qui vont plus loin, poussons Éric Zemmour. » Ce n'est pas quelqu'un qui, depuis dix ans, s'est levé le matin en se disant : « Je vais être candidat à la présidentielle. » C'est un enchaînement.

Comment voyez-vous les régionales ?

C. C. : Moi, je suis très curieuse de savoir si nous avons bien perçu l'opinion, si nous avons surestimé ou sous-estimé Marine Le Pen. Est-ce que cela va être un raz-de-marée dans certaines régions, ou finalement l'équilibre va rester celui de 2015. Avec en toile de fond la présidentielle, puisque ces élections vont donner le tempo à droite et à gauche.

G. V. : Je partage ce sentiment : on ne sait rien. Tout est imprévisible. Les gens ne vont pas se précipiter dans les bureaux de vote au premier tour, mais se mobiliseront-ils pour le second ? Ils ont envie d'être dehors, de vivre le déconfinement.

C. C. : On ne sent pas bien les choses. Comme en 2002.

G. V. : On est dans le flou ! Il n'y a rien de prévisible, et ce n'est pas bon signe. C'est ce qu'on a en commun avec les hommes politiques : quand ils ne sentent pas les choses, ils sont inquiets. Il faut dire que cette crise sanitaire a étouffé la politique. La politique déconfinée, ce n'est pas extraordinaire. Je me disais : « Ils ont réfléchi, ont des nouvelles idées. » Pas vraiment...

C. C. : Peut-être que nous allons avoir des débats passionnants sur la dette, sur l'Europe… Je suis une éternelle optimiste.

Est-ce que la matière politique vous intéresse encore ?

G. V. : Si moi je ne croyais pas au débat d'idées avec des gens qui discutent calmement et qui donnent des solutions, j'aurais raté ma vie. J'ai espoir qu'il y ait moins de tweets qui débouchent sur des débats stériles et inintéressants et plus d'échanges sur les vrais sujets. Il y a un Poutine/Biden, tout le monde s'en fout ! Personne ne devrait s'en foutre.

C. C. : La politique, c'est de l'humain. C'est cela qui est passionnant. Il y a une incertitude folle et je ne participerai jamais au discrédit général que subissent les politiques et les journalistes dans un même mouvement. J'ai déjà entendu vingt fois « cette campagne est nulle » et « c'était mieux avant ».

G. V. : La seule crainte que l'on peut avoir, ce sont les dérives des réseaux sociaux et que la campagne devienne violente et sale. Cela nous guette.

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard 

 

Définition et avantages des nouveaux médias

INTERNET

Définition nouveaux médias se réfère exclusivement à la technologie informatique qui met l'accent sur la forme et le contexte culturel dans lesquels la technologie est utilisée, comme dans l'art, le cinéma, le commerce, la science et surtout Internet. Alors que D médias numériques est une tendance à la liberté technologique elle-même en tant que caractéristique d'un média ou reflétant la technologie numérique (Dewdney et Ride. 2006: 8 et 20).

S'intégrer aux nouveaux médias afin capable de répondre aux nouvelles attentes des clients fidèles, aussi bien en ligne que sur papier. Le développement de nouveaux médias se réfère en fait à un changement dans le processus de production, de distribution et d'utilisation des médias. Les nouveaux médias sont indissociables de terme clé comme digitalité, interactivité, hypertextualité, dispersion et la virtualité (Lister, 2003: 13). En concept numérité tous les processus médiatiques numérique changé (enregistré) en nombres, donc la sortie (éteint) sous forme source en ligne, disque numérique, ou lecteurs de mémoire à modifier et à accepter sur l'écran du moniteur ou en nature «Copie papier». Concept L'interactivité fait référence à l'opportunité que le texte dans les nouveaux médias peut fournir les utilisateurs pour le «Réécrire dans le texte». Alors que le concept dispersion les nouveaux médias sont plus le processus de production et de distribution des médias décentralisé et s'appuyer sur l'activité individuelle (hautement individualisé). Limitation nouveaux médias souvent assimilé à médias numériques, qui devrait être nouveaux médias plus sur le contexte et le concept de la culture contemporaine de la pratique des médias que sur l'ensemble de la technologie elle-même (moyen).

NOUVELLES VUES DES MÉDIAS

Les nouveaux médias sont des médias qui peuvent s'améliorer interaction sociale entre humains par exemple à travers plusieurs réseaux sociaux mais toujours en accord avec les règles et normes de politesse avec courtoisie Les nouveaux médias actuellement populaires sont le mobile ou le smartphone.

Aujourd'hui, pour la plupart des gens le téléphone portable est une nécessité qui est très importante et même très nécessaire. car le développement de la technologie mobile n'est pas uniquement utilisé pour les supports de communication tels que les SMS ou le téléphone. Maintenant, de nombreux téléphones mobiles qui offrent des fonctionnalités de navigation, de chat et autres. Les nouveaux médias sont un nouveau développement de médias qui ont été utilisés par les humains. Son caractère qui est une forme numérique facilite certainement l'échange d'informations et diverses autres activités. Mais dans son développement, les nouveaux médias peuvent également fournir des valeurs négatives, à savoir pouvoir accéder facilement à des sites qui sentent la pornographie et la violence et ont un effet addictif pour ses utilisateurs. Le développement des nouveaux médias doit donc également être suivi par les politiques de ceux qui les utilisent.

AVANTAGES DES NOUVEAUX MÉDIAS

Secteur de l'éducation

Dans ce domaine, bien sûr, les avantages des nouveaux médias très grand, et ressenti par les étudiants. Les étudiants comme moi peuvent rechercher le matériel dont ils ont besoin, afin que nous puissions réduire le coût d'achat de livres, car nous pouvons télécharger un livre numérique dont le contenu est le matériel dont nous avons besoin et les fichiers que nous pouvons enregistrez-le dans un répertoire qui se trouve dans un ordinateur portable ou un ordinateur portable, afin qu'il soit plus simple et pratique, apportez simplement votre ordinateur portable ou votre ordinateur portable si nécessaire sans avoir à vous soucier de transporter beaucoup de livres.

Secteur de la santé

Dans ce domaine, les avantages sont nombreux ressentir directement par les personnes malades ou celles qui veulent trouver quelque chose d'ingrédients naturels pour maintenir la santé. Habituellement, les gens accèdent à des sites Web contenant des recettes de médecine traditionnelle.

Domaine de recherche d'emploi

Dans ce domaine aussi bien sûr très utile pour ceux qui veulent trouver du travail. Parce que grâce aux nouveaux médias, les gens peuvent se renseigner sur les offres d'emploi, sans avoir à acheter de journaux ou à se rendre dans l'entreprise. Parce que généralement chaque agence / entreprise a un site Web, nous n'avons donc qu'à consulter le site Web de cette agence. Grâce aux nouveaux médias, les candidats peuvent également s'inscrire en ligne.

Jula Buy field

Ce champ est également un champ largement accessible personnes, les avantages peuvent être ressentis par l'acheteur pour simplement regarder les photos / photos des DÉFINITION ET AVANTAGES DES NOUVEAUX MÉDIAS

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard 

 

À 140 ans, la loi sur la liberté de la presse « résiste tant bien que mal »

Liberté de la presse : la loi du 29 juillet 1881 a 140 ans

La grande loi encadrant la liberté de la presse a presque un siècle et demi ! C’est une bonne occasion pour se souvenir de sa naissance et de ses principales avancées. Car cette loi, modifiée à plusieurs reprises, constitue encore aujourd’hui le fondement même de notre droit de la presse.

Après la période révolutionnaire marquée par la naissance de très nombreux titres de presse, suivent quelques décennies très peu favorables à la liberté de la presse. Il faudra attendre la IIIe République et 1881 pour que la France se dote enfin de cette loi du 29 juillet qui va définir les libertés et responsabilités de la presse française.

L’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen du 26 août 1789 avait ouvert la voie en reconnaissant la liberté d’expression. Ce dernier disposait que "la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi".

La loi du 29 juillet 1881 va plus loin en imposant un cadre légal à toute publication, ainsi qu’à l’affichage public, au colportage et à la vente sur la voie publique. Son article 1 dispose que "l’imprimerie et la librairie sont libres".

Le régime de l'autorisation préalable et du cautionnement sont abolis, ce qui supprime la censure préalable et réduit les charges qui pèsent sur les éditeurs de presse.

La loi sera modifiée à plusieurs reprises. Elle n’en reste pas moins considérée comme le texte juridique fondateur de la liberté de la presse en France, celle qui favorisera l’essor de la presse grâce à un régime plus libéral.

Votée sous la IIIe République, la loi qui encadre la liberté de la presse mais aussi la liberté d’expression, fête ses 140 ans. Qu’est ce qui fait sa spécificité ?

La loi sur la presse érige le grand principe que l’expression publique doit relever de règles spéciales, et non générales. Cette philosophie a été instaurée en 1881 pour éviter qu’une réglementation trop sévère puisse sanctionner l’expression publique.

Il ne suffit pas d’avoir causé un préjudice pour être sanctionné. À travers sa jurisprudence, la loi de 1881 a précisé de façon stricte les cas constitutifs d’un abus de liberté de la presse, comme l’injure ou la diffamation. En dehors de ces abus, c’est la liberté de la presse qui s’applique. Et le requérant ne dispose que de trois mois pour agir, contre six ans en droit commun.

Qu’en est-il de la loi de 2018 pour lutter contre les fake news ?

Il n’y a eu qu’une seule procédure. C’est une loi dont l’objet est très restreint, qui vise à limiter des tentatives de manipulation du scrutin venant de l’extérieur en période électorale.

→ RELIRE. La loi anti- « fake news » : « son principal défaut, l’inefficacité »

En réalité, je pense que le principal risque pour la loi de 1881 ne réside pas dans ces lois ponctuelles, qui sont des effets d’annonces médiatiques à la portée très limitée en pratique, mais dans la concurrence de tout un corpus de droit découlant de la protection des données personnelles.

Certains estiment que la loi de 1881 ne serait plus adaptée, en raison des réseaux sociaux…

C’est une argumentation fallacieuse, car la difficulté à réguler les réseaux sociaux ne tient pas à la loi liberté de 1881, mais au fait qu’il y a une grande masse de contenus à gérer, et que l’on se heurte la plupart du temps au pseudonymat ou à des contenus postés de l’étranger. En admettant que n’importe qui puisse s’exprimer de façon quasi-anonyme, on a découplé liberté et responsabilité.

Ecrit par : G. Vialy et J. Bayard